Les milles et unes aventures du grand Titi des tracteurs

Coucou!
Et oui c'est encore moi!
je vais vous conter mes plus grandes aventures sur les routes. j'avoue que je ne sais pas par ou commencé.
Je vais commencé par la plus fraiche dans ma tête, la dernière en date, celle de mon arrivée à Bertincourt.

J'arrivais en taverne....

Nous avions marché toute la journée, Rastarine, Granker et moi-même. Nous étions fatigués, mais heureux d'atteindre le but de notre voyage qui durat pour Granker et moi depuis plusieurs dizaines de jours. rastarine décida d'aller se reposer, et Granker d'arpenter un peu les rues de la ville.

Quant à moi, une furieuse soif me fit diriger mes pas vers la taverne la plus proche et la plus animé. Elle était pratiquement pleine, et il y avait parmis eux, ce que j'appris par la suite, le procureur du comté.

Je décidais donc de m'installer et de me présenter. Ceci dit, j'aivais remarqué qu'il était plus facil d'obtenir à boire quand on est quelqu'un d'un peusupérieur aux paysans. Aussi, les poches sans le sou et le gosier dessécher, je me présenta comme une chevalier errant parcourant le royaume en aidant son prochain, ce qui me value une première tournée.

Pour compléter le tableau, je présentais ker comme mon serviteur. Cependant, j'ai rajouté qu'il était un imbécil, et qu'ilposait moulte problèmes. En effet, dans chaque ville, alors que je m'éfforçais d'aider mon prochain avec ma noble âme et mon expérience en terrassant des ours dans les champs des paysans, ker faisait bétise sur bétise, et nous obligeait à fuir au plus vite les villes les unes après les autres. J'ai du le garer à mon service pour le protéger, comme un ami me l'avait fais promettre sur son lit de mort.

Ma voisine fit une boutade à propos d'un âne que je ne compris pas. il me sembla alors qu'elle avait des ennuis avec un âne qui mangeait les cheveux d'un messire non loin, le fameux procureur. Ni une ni deux, je me précipite dehors dans l'intention d'abattre l'ignoble animal, visiblement possédé. A mains nues, je me débats avec lui pendant plusieur minutes (d'aucuns doront que c'était un balai, ce qui est absolument faux évidemment). Je finis par en venir à bout et ramene un morceau au procureur pour le rassurer.

Bien évidemment tout le monde me félicite. J'ai même droit à des félicitations particulière du pays que je n'ai pas encore tout saisi, du genre: "je comprend maintenant pourquoi vous devez vous enfuir de chaque ville. Pauvre serviteur". Peu clair pour moi!

La dessus, une troisième dame se sent mal et va prendre l'air. décidément aujourd'hui je n'avais pas le temps de m'arreter. Je me précipite bien évidemment vers elle et remarque qu'elle suffoque. Personne ne voulant lui faire du bouche à bouche, il ne restait plus que moi. Mais la voial prise d'une force soudaine, comme possédé, et qui me renverse, moi son sauveur! La dessus, les autres me tombent dessus à bras raccourcis et me ligotte. Je crois bien qu'ils en voulaient à mon corps, mais je réussit à me défaire d'eux et à m'échapper de cette taverne visiblement hantée!

Je retrouvai ma Rasta qui me délivra de mes lien et soigna mes douloureuse blessures de guerre.

Il vont mettre l'ambiance a Bertincourt moi je vous le dis !

Moi qui me plaignais de m'ennuyer ... là je vais etre servie !

aujourd'hui la légende de Sainte Ménéhould, ou pourquoi st ménéhould s'appelle st ménéhould.

C'est l'histoire d'une vierge vivant dans un petit village. Elle était absolument magnifique. Avec une chute de rein à faire pâlir un évêque de 80 ans et une poitrine digne des plus beaux oreillers à plume d'oies. Tous rêvaient de s'y blottir.
Notre jouvencelle avait néanmoins un problème, sabeauté attirait nombre de marauds qui ne désiraient qu'un chose, sa petite fleur. Oui bon vous aurez compris laquelle. Faut tout expliquer décidément, une de celles qu'on ne retrouve plus jamais.
Un chevalier était beaucoup plus entreprenant que les autres, se croyant un beau parti avec sa gloire, ses titres et sa richesse.
Elle parti se cacher dans les bois pour éviter ce malotrus.
Après quelques jours de recherches infructueuses, notre chevalier grimpa en haut du plus grand des arbres de la région pour essayer de la retrouver. Une fois en haut, il cria: y sont ou les nénééééé????
Il cria tellement fort qu'il en tomba de l'arbre et se rompit le cou.
La vierge retourna chez elle, et grâce à sa petite fleur, accompli quelques miracles, comme de prédire le temps en parlant aux grenouilles qui montaient le long de son échelle.
Après quelques années, la vierge mourut et fut béatifiée. Puis une ville se construisit autour de l'arbre du chevalier. Il fallut trouver un nom pour cette ville. On pense alors à cette sainte morte non loin. Cependant, il fallait queque chose qui la rapprochait de ces maisons. L'arbre, ou plutôt la tombe du chevalier, donna la solution.
La ville pris donc le nom de la sainte de sont ou les nénés.
Puis avec le temps devint, sainte nénéou, pour enfin donner:
Sainte Ménéhould.

La légende est naturellement véridique et a obtenue son certificat d'authenticité
Vous pouvez donc la raconter à tout le monde!

Alors là je n'en reviens pas !

Mon titi d'amour, tu racontera des histoires comme ca a nos enfants ? heuuuu notre enfant .... qu'est ce que je raconte moi

Ben quoi??? elles te plaisent pas mes histoires???
A moi que tu ne veuille dire qu'elles sont ellement belles qu'ils ne les mériteront pas Mais si voyons, ils tiendront de moi, donc ils les mériteront forcément.
Je reprend ton ils, puisque tu en veux une colonie apparemment.
C'est pas possible les femmes, vous leur donnez un bout elles prennent tout
Tu peux raconter des histoires toi aussi ma rasta

Moi je lui raconterai mes récits de voyages ... je le ferais rêver en lui décrivant des paysages plus magnifiques les uns que les autres ...


Ahhhh voyage ... quand tu nous tiens

ben c'est tout pile ce que je fais
Je décris le charme des villes renvcontrées avec leur légendes locales, leur coutumes. C'est beau, c'est merveilleux et riche en enseignement

Tu devrais me remercier de penser déjà à lui alors qu'il n'est pas encore là

Racontons l'histoire maintenant d'une autre de ces villes du royaumes: Montélimar. Vous verrez qu'elle est riche en enseignement. Allons ypour la véritable histoire de Montélimar, sisi véritable! je la tiens de source sûre, impossible à mettre en doutes. Bon je peux y aller maintenant? C'est parti:

Oyé Oyé, laissez moi vous conter la véritable histoire de Montélimar, ou mais comment a-t-on bien pu en arriver là?!
En ce temps là, la ville n'était formée que de quelques batisse et d'une belle auberge accueillant les voyageurs désirants une paillasse à l'abri du mauvais temps et de la pisse de chat qu'on a eu le malheur d'appeler bière.
L'auberge était surtout connu pour son propriétaire, le gros Marcel!

Il jurait, grognait, se bagarait avec le moindre client faisant des difficultés, et couchait avec la moindre donzelle n'ayant pas de quoi se payer la nuit. Bref, on venait voir quel cirque il allait se passer ce soir là. D'autant plus que la patronne était un tantinet jalouse, et les petites infidélité du gros Marcel faisaient des merveilles de prises de bec au milieu de l'auberge, avec de la vaisselle cassé, du bouillon jeté, des cris...bref, une vraie partie de plaisir.

Malgrès tout, un soir que la patronne en avait assez de ne plus savoir compter ses cornes, elle monta dans sa chambre et cria à son mari:
"Montez donc au lit mon gros Marcel!"
Les clients eurent alors un rire gras et le patron un sourire de désir. Il monta les marches 4 à 4 laissant seule la pauvre serveuse, allant faire sa petite affaire. Seulement, après avoir asticoter son mari, elle lui broya les parties intimes pour lui démontrer comme ses infidélités lui faisaient mal. Le cri du gros Marcel glaca la salle commune. Il ne redescendit pas de la soirée, et on ne lui connut plus d'amante de passage.

Le gens retinrent la leçon des dangers constants que peuvent vous amener une femme, et pour prévenir les nouveaux arrivants nommèrent leur ville:
MontezaulitMarcel, qui devint par la suite Montélimar.

J'espère que vous ne l'avez pas oublié, sinon gare.

Trop fort